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PAQUES EN PROVENCE à Fréjus
Pâques en Provence 2007 Le
rendez-vous pour le départ de la trace 2007 a Personne
n’a oublié de fixer sa plaque de cadre Sortie
d’Apt, nous empruntons la D3 que nous connaissons très bien pour le pratiquer
régulièrement, et, après avoir traversé le haut de A
notre arrivée à Ginasservis, sur la place du village, la terrasse du café est
prise d’assaut par des cyclos d’un club de la Drôme et deux équipes du
club cyclotourisme aptésien (notre ancien club). Tous les membres de ce club,
à l’exception du président du Codep de Vaucluse, viennent nous dire bonjour
et nous font savoir qu’ils n’effectuent que 145 bornes la première journée
et feront le reste le lendemain pour faire juste les 205 kilomètres réglementaires
d’une trace. Le
casse-croûte sorti de la sacoche ingurgité, la café bu, nous reprenons nos
montures, et, comme à l’habitude, (après le déjeuner, nous avons la spécialité
de réattaquer par une côte), nous nous dirigeons vers La Verdière, Varages,
Tavernes et Barjols, lieu de notre deuxième contrôle. Nous profitons donc de
cet arrêt pour nous désaltérer à la terrasse d’un bistrot avant de
repartir en direction de Correns et Montfort-sur-Argens où nous effectuons une
courte halte pour saluer la mère de Maurice. Ce dernier qui souffre du dos
n’est pas à l’aise dans la montée qui nous mène à Carcès et l’est
encore moins dans celle qui mène à Lorgues. Encore une bonne grimpette avant
de redescendre sur Draguignan où nous attendent à l’hôtel du Parc,
Marielle, l’épouse de Dominique et Laetitia du team Gianti (ces dernières
ont transporté nos bagages et nous récupérerons le lendemain à Fréjus).
Nous Nous
garons nos cycles dans le garage de l’hôtel où ils seront gardés par le
boxer du patron et nous prenons possession de nos chambres pour Rendez-vous
à 19h30 dans le parc de l’hôtel, photo souvenir et direction le restaurant.
Le patron nous arrange le menu selon nos désirs et Après
une nuit plus ou moins bonne, nous déjeunons, Claude a sorti les vélos avant
le petit déjeuner, et c’est à 7h45 que nous quittons l’hôtel en
attaquant la montée qui nous conduit vers Saint- Paul–en-Forêt. Au cours
d’un arrêt technique, nous sommes rattrapés par les « avions » du C.C.
Apt, Fabrice en tête, qui s’arrêtent pour nous dire bonjour et repartent
dans la foulée. Au cours de cet arrêt nous avons pu admirer le casque couleur
« tafiole » d’Antonio. Ayant repris notre route , j’entends derrière moi
« Alors the best », c’est Claude Jarno et son équipe qui nous dépassent,
quelques mots au passage avec Claude et Dédé.
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