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Diagonale Brest-Strasbourg par Philipe Wagner

 

SORTIE  du  15  AVRIL  2007

Partant du principe que nous boycottons les randonnées-concentrations des clubs qui proposent des horaires pour cyclosportifs, nous ne sommes pas allés à Villelaure comme nous le faisions les années précédentes. Maurice proposant Istres, cette destination fût donc notre but en cette belle journée (soleil magnifique, pratiquement pas de vent et bonne température).

Rendez-vous 07h00 à la villa du team Gianti, départ 07h15. Nous traversons Apt, direction Bonnieux, le fond de l’air est frais dans la combe de Lourmarin, à la sortie de cette dernière, avant d’entrer à Lourmarin, nous sommes rattrapés par les « avions » du CC Apt qui se rendent à Villelaure, nous discutons de nos destinations respectives et les quittons en bifurquant à droite pour entrer dans l’agglomération. Arrêt à la stèle de Robert Laurent Vibert,                                                                      

initiateur de la Fondation portant son nom, il avait gardé un merveilleux souvenir de son séjour à Rome après ses études à l’Ecole Normale Supérieure Lettres. D’où son souhait de créer à Lourmarin une « Petite Villa Médicis de Provence » qui accueillerait des Pensionnaires durant l’été. En 1923, il avait légué par testament le Château de Lourmarin et l’ensemble de ses collections à l’Académie des Sciences, Agriculture, Art et Belles Lettres d’Aix-en-Provence. Selon ses vœux, elle accueille chaque été une dizaine de jeunes Pensionnaires de diverses disciplines (peintres, sculpteurs, musiciens, chercheurs, écrivains..)Durant un mois, en juillet ou en août, ils sont logés au Château et se consacrent à leur art, sans soucis matériels. Les candidats doivent être parrainés par une personnalité artistique ou universitaire, ou par un ancien pensionnaire. Ils doivent être âgés de préférence entre 20 et 30 ans. L’Académie des beaux Arts est partenaire de la fondation et parraine chaque année quelques lauréats de Grands Prix. Le Château de Lourmarin ouvre également ses bibliothèques à tout chercheur qui en fait la demande auprès du Conservateur.

Petite photo de la localité avant de ré enfourcher nos montures en direction de Lauris

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Quelques kilomètres de tape cul alternés avec une piste cyclable et nous arrivons à Mérindol.

Descente vers le grand rond-point où nous obliquons à gauche en direction de Mallemort, Alleins et Salon-de-Provence (B.P.F). Photo du mémorial Jean Moulin, grand héros de la Résistance. A l’entrée de Salon, nous prenons la photo avec la pancarte indiquant l’entrée d’agglomération et nos montures pour justifier notre passage BPF (nous ne faisons pas tamponner des cartes BPF mais avons créé un cahier BPF  informatique ou chaque département comporte une feuille recto verso avec six cadres dans lesquels nous insérons le nom du BPF, la photo et la date, nous effectuons les visites BPF pour notre plaisir et non pour collectionner des cartons estampillés FFCT).

 

La traversée de Salon effectuée (sans prise  photo, les monuments intéressants étant à contre jour), nous prenons la direction d’Istres où nous arrivons sur le coup de midi. Nous n’allons pas pointer à la concentration du club local (Claude a encore du ressentiment à l’encontre de ses dirigeants au sujet d’un Brevet Fédéral de 250 km, l’an dernier).

Arrêt devant une boulangerie, l’on se croirait au temps des restrictions, vu l’importante queue. Huguette est désignée pour aller acheter le pain tandis que Maurice et Claude discutent avec un quidam, qui gardant deux VTT appuyés au platane, est intrigué  par nos vélos. N’y tenant plus, ce dernier s’approche de la randonneuse de Maurice, caresse la selle, tripote la machine, pose des questions…. Le pain acheté, nous prenons congé du vététiste qui nous souhaite bonne route et nous partons à la recherche d’un coin pour pique-niquer que nous trouvons à la sortie d’Istres sous les pins.

Le repas ingurgité, nous décidons de pousser jusque Martigues (BPF). Ce n’est qu’une succession de bosses (pas méchantes) qui nous attend. A un moment, Maurice tend le bras à droite, ralentit, déchausse et s’arrête juste avant d’entrer dans un grand rond-point, Claude se demande se qui se passe, s’arrête, se retourne et interroge de la tête Huguette qui se marre, il entend Maurice qui dit « Tu ne l’a pas vu le panneau ? ». Effectivement nous sommes devant un énorme panneau indiquant la localité de Martigues. Nous immortalisons donc notre passage à l’aide du DSC-H5.

              Nous nous rendons au centre ville afin d’y déguster une tartine de houblon, qui n’est peut-être pas la spécialité de cette petite Venise Provençale, mais que nous apprécions, installés à la terrasse du bistrot. Puis direction le port où Claude prend plusieurs clichés afin de réaliser une photo panorama à l’aide de son ordinateur à notre retour. Cette photo est visible sur le site du randonneur 650 à l’adresse suivante : http://randonneur650.free.fr/photo.htm , à la rubrique B.P.F, Martigues panorama, car ci-dessous ça ne rend pas grand-chose (trop petite).

              Nous reprenons le chemin du bercail, nous retraversons Istres, Eyguières où nous effectuons un arrêt méhariste, abreuvage non pas des montures mais des cavaliers. Quelques gouttes nous intriguent alors que nous sommes à la terrasse du bistrot, nous décidons de lever le camp rapidement, ce n’est qu’une fausse alerte, un nuage qui nous a fait des siennes sur quelques kilomètres mais sans nous tremper. Orgon, Cavaillon, Gargas, la petite sortie sympa de 193 kilomètres s’achève à 18h45. La randonneuse Duret a effectué quelques bornes de plus pour sa période de rodage ainsi que son pilote qui était à l’aise, mieux que sur la Trace Vélocio et comme il dit « Encore deux sorties comme celle-ci et se sera parfait ».